Le contenu vidéo a un grand impact, mais de plus en plus, les audiences sont submergées par une avalanche de ce type de contenu.

Si vous faisiez défiler votre flux d’informations Facebook pendant 30 secondes, en ce moment, combien de vidéos pensez-vous voir? Je viens de le faire et il y avait 17 vidéos qui m’ont été proposées.

Dix-sept.

Si vous produisez de la vidéo, en tant que diffuseur (beaucoup de ces 17 vidéos provenaient d’ailleurs des pages de diffuseurs télévisuels) ou en tant que marque, comment pouvez-vous vous assurer de vous démarquer?

C’est une question que se posent les éditeurs, les réalisateurs et les producteurs.

Lorsque vous n’avez que quelques secondes pour essayer de faire en sorte que ces défileurs passifs (ma nouvelle expression préférée, traduction de « passive scrollers ») portent attention à votre contenu, ces premières secondes de votre contenu vidéo sont essentielles.

Maarten Boon a récemment publié un article à ce sujet et a proposé quelques conseils et astuces qui peuvent aider une vidéo à se démarquer du reste du bruit que vous voyez dans vos flux de médias sociaux.

Un aspect très important est ressorti de cet article: le storytelling.

C’est une chose que les humains recherchent. Une bonne histoire.

Ils font défiler l’écran, à la recherche du prochain contenu sur lequel ils passeront un certain temps, et une bonne histoire aura toujours son effet.

Intégrez-vous le storytelling dans la plupart de vos contenus vidéo?

D’autres conseils sont mentionnés dans l’article, mais je vous invite à réfléchir et à vous demander: à quelle fréquence racontez-vous la meilleure histoire possible à votre audience?

À vos caméras!