En apprendre sur la façon dont le cerveau fonctionne lorsqu’il désire se concentrer peut aider les marketeurs de contenu.

J’ai lu un très intéressant article de Nir Eyal sur la façon dont notre esprit garde le « focus » et comment nous pouvons développer notre capacité d’attention dans ce monde où nous vivons, rempli de distractions.

L’article explique comment le cerveau fonctionne lorsqu’il tente de garder sa concentration, et comment des chercheurs travaillent présentement à trouver des façons qui nous permettraient de l’améliorer.

L’article est fascinant.

Mais il m’a aussi fait réfléchir.

Nous nous devons d’appliquer ces mêmes apprentissages et ce savoir dans la façon dont nous produisons et distribuons notre contenu.

En tant que marketeurs de contenu, nous nous battons tous pour l’attention de nos audiences. Nous voulons non seulement attirer leur attention, mais la garder de façon à ce qu’elles passent du temps avec nous, avec nos articles, avec nos vidéos.

Nous avons besoin qu’elles aient un engagement profond avec nous.

Ce n’est pas une quête pour un simple « j’aime », une page vue ou un démarrage vidéo, nous ne sommes pas à la recherche d’un simple engagement.

Nous recherchons un engagement profond.

Nous voyons trop souvent des stratégies pour les médias sociaux ou des stratégies de contenu bâties pour générer de l’engagement. Mais en fin de compte, ce dont nous avons besoin et qui fera une réelle différence dans l’atteinte des objectifs d’affaires que nous nous sommes fixés est beaucoup plus que du simple engagement. Nous visons un engagement profond.

Nous voulons que nos audiences prennent le temps de lire l’article complet, de regarder la vidéo jusqu’à la fin. Et nous voulons qu’elles en repartent avec un désir d’en vouloir plus. C’est ce que j’appelle l’engagement profond.

En lisant l’article d’Eyal, une chose m’est restée à l’esprit: la façon dont le cerveau a deux fonctions distinctes qui travaillent en tandem pour nous permettre de nous concentrer. La première est l' »augmentation » (traduction libre de « enhancement »), notre habilité à se concentrer sur les choses importantes, et la seconde est la « suppression », notre capacité à ignorer les choses qui ne le sont pas.

Ceci signifie que pour générer de l’engagement profond, nous nous devons d’offrir des contenus importants aux yeux de notre audience, tout en trouvant des façons de les publier dans des contextes où il y a le moins de distractions possible.

Je me fais encore une tête à l’idée de ce concept d’engagement profond, alors je vais vous laisser lire l’article, mais n’hésitez pas si vous aimeriez discuter ou partager sur le en me contactant au [email protected].