Les pratiques d’encodage de Netflix et leur impact sur les royautés versées aux producteurs.

La production est terminée, les équipes de tournage et de montage sont de retour à la maison. Ne reste que les dernières lignes de la post-production à compléter. Temps de livrer.

« Quel format avez-vous dit? 4 versions? Codecs et résolutions envoyées par courriel? Merci… »

Bon un scénario qu’on connait bien, pas global, mais on l’a tous vécu une fois (ou trois).

Netflix et plusieurs autres diffuseurs travaillent très fort au niveau de leur workflow d’encodage pour assurer un haut niveau de compatibilité et de qualité.

Dans le cas de Netflix, ils ont récemment publié certains détails sur leur processus. Dans leur cas, chaque production est encodée en 120 formats différents (oui, 120, avec un zéro), en prévision d’une lecture potentielle sur environ 900 plateformes différentes (Xbox, iPad, télés connectées, etc.).

Là où l’article de cette semaine devient intéressant à mon avis, est lorsqu’il y a mention que lors du choix de certains fournisseurs de contenus, ils favorisent ceux qui peuvent livrer les médias dans le bon format et, surtout, rapidement. Ceci permet à certains producteurs d’avoir de plus grands revenus de royauté.

Je vous suggère donc cette lecture tirée de GigaOM, puis, pour plus de détails, suivez les liens cités vers le blogue de Netflix.

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