Selon les rapports 2020 du Content Marketing Institute, 24 % des spécialistes du marketing de contenu B2B et 25 % des spécialistes du marketing de contenu B2C utilisent l’imprimé dans leurs stratégies de contenu.

(En passant… je suis tout aussi surpris que vous par les chiffres ci-dessus, mais comme ils sont issus du CMI, donc nous pouvons les considérer comme vrais…)

Ce n’est pas toutes les marques et organisations qui peuvent inclure l’imprimé dans leurs programmes de marketing de contenu, souvent pour des raisons budgétaires. Et ces dernières années, les formats qui lui sont associés (magazines, etc.) sont en déclin.

Mais pour certains secteurs, comme les industries financières et touristiques, ils restent un moteur d’attention très intéressant car le contenu qu’ils produisent peut souvent être à longue durée de vie et à longue traîne (une clé pour investir dans le contenu imprimé).

Dans un récent article du Content Marketing Institute, Ann Gynn s’est penchée sur l’approche de TD Ameritrade Institutional qui consiste à utiliser leur contenu numérique pour déterminer le contenu du magazine imprimé qu’ils produisent.

Gynn décrit comment les équipes du TDAI utilisent les métriques du numérique pour décider si un article doit ou non figurer dans le magazine imprimé: temps passé sur la page, nombre de visiteurs et engagement.

Elle explique ensuite comment les articles sont adaptés à une version imprimée, en passant en revue les titres, les sous-titres, etc.

En bref, l’article est une étude de cas sur la façon dont une organisation de contenu utilise son contenu numérique et sa performance pour prendre des décisions éditoriales pour les actifs imprimés qu’elle crée.

Votre marque utilise-t-elle l’imprimé comme un canal pour atteindre son public? Êtes-vous satisfait des résultats? Quels étaient les objectifs? Nous serions ravis de vous entendre.