Lorsque l’on parle de contenu interactif, beaucoup pensent qu’il s’agit de web3, de métavers et d’équipements de réalité virtuelle ou augmentée. Ce n’est pas le cas.

Nous sommes tous habitués à consommer des contenus linéaires et passifs tels que des vidéos, des articles, des livres blancs et des livres électroniques.

Mais les recherches et les études de performance ont prouvé que même les plus petits éléments d’interactivité dans votre contenu peuvent (lorsqu’ils sont bien faits) améliorer considérablement l’engagement et la mémorabilité.

Considérez le contenu interactif comme une alternative à votre webinaire, une alternative à ce « PDF caché derrière un formulaire ».

Velocity Partners a récemment publié un article qui présente des exemples de la manière dont le contenu peut devenir interactif sans se ruiner.

Qu’il s’agisse de simples questionnaires, d’évaluateurs ou de simples éléments de navigation, il existe de nombreuses façons d’améliorer et d’enrichir un contenu de qualité.

Bien sûr, tous vos contenus ne devraient pas être interactifs, mais vos actifs les plus précieux pourraient en bénéficier. Qu’il s’agisse d’un meilleur engagement, comme un taux de partage plus élevé, ou d’une meilleure mémorisation après la visite, toutes ces mesures auront un effet positif sur l’impact de votre contenu sur votre public.

À partir de là, j’aime bien les deux règles que Velocity Partners énonce en guise de conclusion :

  1. Le contenu interactif doit être utile (ne pas faire de l’interactivité juste pour « pimenter » la page, le faire avec une raison).
  2. Le contenu interactif doit être non linéaire (en d’autres termes, ne faites pas d’interactivité si cela ne signifie pas que l’utilisateur obtient une forme de contrôle sur son expérience du contenu).

Je vous invite à prendre quelques minutes pour examiner les exemples présentés dans l’article. Vous pourrez y voir une marque que je cite souvent dans les ateliers et les conférences : Salesforce et sa plateforme et expérience de contenu Trailhead.