Les producteurs, et les marques, doivent être prêts au compromis
Où comment les deux parties ont le sentiment de tout jouer dans l’arène du contenu de marque.
Les 5 et 6 avril derniers se tenait l’édition annuelle du MIPCOM, « l’événement pour le développement d’affaires en cofinancement et co-production documentaire, ainsi que le seul catalogue de contenu factuel au monde. »
En bref, la conférence étant entièrement basée sur le storytelling de vraies histoires. Ce sont des documentaires, des nouvelles, etc.
Comment plusieurs voient les industries de la publicité et du factuel en voie de collision certaine, l’édition de cette année du MIPDOC ne pouvait qu’être très intéressante.
Et une des sessions de l’édition de cette année en est venue à une conclusion très intéressante: « Les marques, tout comme les producteurs, doivent être prêts au compromis. »
L’article de cette semaine raconte comment « [les] cinéastes sont inquiets que leurs films soient complètement détruits […] » et que les marques soient aussi « inquiètes que s’ils s’éloignent de la publicité télé ils ne verront plus le retour sur investissement. »
En bref une lecture, courte, qui en vaut la peine c’est sûr. Basée sur la dure réalité et l’expérience en contenu de marque.